Malheureusement, nous devons annuler cette rencontre
L’écrivain Gil Bartholeys échangera avec le public autour de son premier roman, « Deux kilos deux » (J. Lattès), qui aborde la question HAUTEMENT POLÉMIQUE de l’ÉLEVAGE INDUSTRIEL et ses corollaires, le bien-être animal, l’alimentation humaine, le poids des industries agroalimentaires, …
Historien et chercheur belge, Gil Bartholeyns enseigne à l’université de Lille.
Finaliste du Prix Première | Finaliste du Prix des lecteurs Club | Finaliste du Prix Maya | Sélection 8 meilleurs premiers romans. Le Figaro Littéraire | Sélection 10 romans chocs de la rentrée littéraire. Le Parisien
Le Samedi 4 décembre 2021, 11h (date reportée du 17 octobre 2020) Gratuit CST et port du masque obligatoire
Durant une semaine plonge-toi dans l’illusion, la magie, la désinformation, l’imaginaire.
Dans un monde où les apparences sont souvent trompeuses, les sensations troublées et les vérités multiples, mieux comprendre les mécanismes qui affectent notre jugement et nous font voir le monde selon des perspectives différentes devient un atout. Cela nous amène à réfléchir sur notre propre point de vue, nous émanciper d’une pensée dominante parfois tronquée et oppressante et sur les moyens de les partager avec les autres
L’espace d’une semaine, La maison de la Laïcité te propose d’essayer de discerner le vrai du faux, le concret du virtuel, l’info de l’intox, l’illusion de la réalité et pourquoi pas, également créer un imaginaire… par le biais de visites, d’expériences et de rencontres.
Pour démarrer la semaine, tu découvriras toutes une série de jeux : énigmes, histoires, dilemmes et bien d’autres. Mais au fait, le jeu est-il un moyen de s’échapper du monde réel ou une manière de mieux comprendre les vérités du monde qui t’entourent ?
Dès le lendemain, tu plongeras dans le monde de l’image et de ses mystères au musée de la Photographie de Charleroi. Ensuite, du réel au virtuel, tu pourras percer les secrets du « fond vert » et de l’animation 2D/3D chez DreamWall/Keywall.
En milieu de semaine, tu embarqueras pour un voyage dans le temps à la Maison de l’Histoire européenne et tu t’aventureras au gré des fraudes et falsifications qui ont jalonné l’histoire tout en gardant un œil sur la réalité des choses.
Mais du réel à l’imaginaire, la frontière est parfois très mince ! Oseras-tu passer la porte du musée d’Art fantastique et convaincras-tu Bogrim le magicien mentaliste de révéler les secrets de l’illusion et de la magie ?
Pour conclure cette semaine bien remplie, tu participeras à la réalisation d’une application virtuelle que tu pourras installer sur ton téléphone et ainsi partager tes aventures réelles et/ou imaginaires avec tes amis et ta famille.
Un stage bien réel, où les participants pourront échanger des idées, s’exprimer et laisser libre cours à leur créativité.
Du 23 au 27 août 2021, tous les jours de 8h30 à 16h30 (accueil possible dès 8h). GRATUIT Lieu: Maison de la Laïcité de Charleroi Rue de France 31, 6000 Charleroi
Le nombre de places est limité à 15 participants maximum
Contact pour infos et inscription : info@laicite-charleroi.be Tel : 071/53.91.76 ou 071/53.91.88
Malheureusement, au vu des nouvelles mesures contre la propagation du COVID-19, nous avons décidé de reporter la rencontre avec Gil Bartholeyns
Gil Bartholeyns parlera avec nous de son roman, dans le cadre de la Fureur de lire
« De rencontre en rencontre, le lecteur explore avec lui les arcanes intimes et universels du délire dans lequel est prise notre civilisation. » (Hachette) Historien et chercheur belge, Gil Bartholeyns enseigne l’histoire et l’anthropologie à l’université de Lille. Son premier roman, Deux kilos deux, aborde la question hautement polémique de l’élevage industriel et ses corollaires, le bien-être animal, l’alimentation humaine, le poids des industries agroalimentaires… Il le fait sans manichéisme. Les personnages sont pris dans une réalité complexe sur laquelle ils n’ont que peu de prise : plus ou moins sympathiques, ils ne sont ni des héros ni des salauds. Un inspecteur vétérinaire est envoyé aux confins des Ardennes dans une exploitation d’élevage industriel de poulets, alors que la tempête de neige fait rage. Finaliste du Prix Première | Finaliste du Prix des Lecteurs Club | Sélection 8 meilleurs premiers romans. Le Figaro Littéraire | Sélection 10 romans chocs de la rentrée littéraire. Le Parisien
INFOS PRATIQUES Réservations obligatoires auprès de la Maison de la Laïcité de Charleroi : en raison des mesures sanitaires, le nombre de participants est strictement limité. info@laicite-charleroi.be – 071/53.91.76 Adresse du jour : Rue de France, 31 – 6000 Charleroi Un partenariat CAL Charleroi, UAE & Bibliothèque Langlois
Dès le plus jeune âge, les individus apprennent à vivre en assimilant les normes et les valeurs dominantes afin de pouvoir s’intégrer socialement, en répondant aux attentes des autres, sans même quelquefois s’en apercevoir. Parfois, au détriment de leurs singularités souvent mal comprises, voire rejetées.Si tu as envie de participer à un stage atypique, décalé, original… par le biais de visites, d’expériences et de rencontres, ce stage est pour toi !
Les inscriptions sont ouvertes: info@laicite-charleroi.be 071/53 91 76 ou 071/53 91 88
40€/semaine (55€/semaine pour les enfants hors entité de Charleroi)Attention, le nombre de places est limité à 15 participants maximum
Journaliste et écrivaine, Myriam Leroy a travaillé dans de nombreux médias en Belgique. Chroniqueuse à la RTBF (On n’est pas rentré, Le Café serré, Entrez sans frapper, Un Samedi d’Enfer) et à Canal+ (La Nouvelle Édition de Ali Baddou), elle a été aux commandes de Coupé au montage et a fait partie de l’équipe de l’émission littéraire Livrés à domicile.
Après des chroniques (Les bobos : La révolution sans effort en 2012 et Myriam Leroy n’aime pas en 2013), son premier roman, Ariane a été sélectionné pour le Goncourt du Premier roman en 2018. Dans son deuxième roman, Les Yeux rouges (Le Seuil), elle aborde la question brûlante du Schmilblick sur les réseaux sociaux : un sujet qu’elle connait bien pour en être elle-même ***** régulièrement.
Myriam Leroy parlera avec nous de son roman, le samedi 7 mars à 11h à la Maison de la Laïcité, 31 rue de France à Charleroi. Les échanges se poursuivront autour d’un apéritif.Organisé dans le cadre des Femmes de mars Une organisation de l’ Union des Anciens Etudiants de l’ULB – Régionale de Charleroi – Le Centre de la Province de Hainaut – Bibliothèque Alfred Langlois, de la Maison de la Laïcité de Charleroi et du Cal Charleroi
« Chacun s’accorde de nos jours à penser que l’autisme est génétique, ou dû à la pollution, ou à un traumatisme physique à la naissance, ou à l’influence des ondes sismiques, de la nourriture lyophilisée, des astres, des ancêtres dont le prénom comptait plus de voyelles que de consonnes… Bref : en tout cas les psychanalystes se trompaient, puisqu’ils culpabilisaient les parents, CQFD (…) En attendant, quant à moi, je m’accroche à ma culpabilité comme un noyé à une bouée de sauvetages (…) » Laurent Demoulin, » Robinson »
Le 15 février à 11h, rencontrez Laurent Demoulin qui parlera de son roman « Robinson », Prix Rossel 2017.
Laurent Demoulin évoque son fils, autiste profond et la relation qu’ils entretiennent : les obstacles sont sans nombre mais l’amour en triomphe. Si le sujet est difficile, jamais le texte ne tombe dans le misérabilisme ou la lamentation. Les réalités du quotidien sont triviales mais leur récit est épique. Un formidable hymne à l’amour entre un père et un enfant différent. La rencontre se clôturera par un apéritif qui permettra de poursuivre les échanges avec le romancier.
Infos et réservations 071/53 91 76 info@laicite-charleroi.be
Partenaires: CAL Charleroi, ML Charleroi, UAE Charleroi, Bibliothèque LangloisRésonances autour de la question de l’autisme / du handicap à Charleroi
L’exposition propose une sélection d’œuvres – céramiques, dessins, photographies, sculptures, installation vidéos – issues des travaux des artistes suivants : Anne Marie FINNE | Dimitri CAREZ | Dominique BOTTE| Jacques VANDENBERG |Maëlle DUFOUR| Michèle PEYRAT |Olivier SONCK | Omer OZCETIN | Sébastien JACQUET | Sonja DELFORCE |Tristan ROBIN |YAMIKI
Vernissage le samedi 18 janvier 2020 à 18h30
(ARTS*ARTS) et les artistes posent la question : « l’art peut nous aider à méditer sur les dérives de notre temps ? » Face à l’obscurantisme et aux fausses vérités qui semblent s’installer durablement, nous proposons une exposition qui, dans un langage direct ou symbolique, questionne le réel…
(ARTS*ARTS) est une association qui se propose de promotionner, par des expositions et autres évènements, des artistes et des plasticiens, connus, reconnus ou en devenir, tout en favorisant l’échange entre ceux qui, par leur réseau ou par le caractère inédit de leur démarche, ne sont pas forcément présents dans les circuits traditionnels des galeries, centres culturels ou musées, et les autres, déjà actifs et reconnus dans leurs disciplines.
– Visites libres en semaine de 10h à 16h30 – Ouverture exceptionnelle le samedi 25 janvier de 14h à 18h – Atelier Philo le samedi 25 janvier de 15h à 16h30 – Deux visites guidées par Christina Ruggin sont programmées le vendredi 24 janvier ( de 16h à 17h) et le mercredi 29 janvier ( de 14h à 15h)Exposition Interroger le réel. Douze artistes à découvrir !
Au fil des jours, nous vous les présentons :
► 1. Anne Marie Finné Etudes à l’ENSAV La Cambre | Enseigne le dessin depuis 1990 à l’Académie de Molenbeek-St-Jean. “Les dessins d’Anne Marie Finné sont dépaysants à plus d’un titre. Ce sont assurément des dessins et pourtant… La « part d’inachevé » y tient une place si grande qu’elle met le papier lui-même en question”. Extraits – Eddy Devolder – 2012
► 2. Dimitri Carez Etudes à l’ENSAV La Cambre, artiste pluridisciplinaire. Il considère sa pratique artistique comme le fruit d’une façon d’être, d’une attitude ou d’un geste.
Son travail témoigne de ce qui échappe de l’involontaire, de ce qui a toujours été là et qui se doit d’être révélé. L’acte génère son propre sens. « l’attitude est la soustraction de l’intention au résultat, le geste qui dessine ce que l’on ne connaît pas ».
► 3. Dominique Botte Etudes en Photographie à l’Institut Provincial des Arts et Métiers de La Louvière. Presse reporter. A rejoint Krasnyi, un collectif de photographes socialement engagés. “Une bonne photo vaut mieux qu’un long discours. La photographie, c’est un art charmant et abominable”.
► 4. Jacques Vandenberg Etudes à l’ENSAV La Cambre en photographie. Enseigne à l’Académie des Beaux-Arts Alphonse Darville de Charleroi. « Paysage… Architecture… Architecture et paysage. Enfouissement, disparition, retour d’une nature toujours triomphante. Pratiquant la photographie de paysage et d’architecture, j’ai revisité les photographies de Georges Vercheval réalisées à Charleroi au début des années 60 pour constater l’évolution d’une ville ».
► 5. Maëlle Dufour Etudes à l’ENSAV La Cambre, Sculpture. Prix du Hainaut 2018. “Seize plaques de plomb, chacune portant une image ou une phrase, révèle des traces d’un temps vécu. Laissant une impression de disparition, chaque plaque nous questionne sur son origine. S’agit-il de la destruction de la nature elle-même ou de ces sols que l’on se dispute ?»
► 6. Michèle Peyrat Etudes Académie des Beaux-Arts de Charleroi, Photographie. “Les photos floues me permettent d’apercevoir un monde poétique où l’avenir se déploie là où la netteté l’enfermerait peut-être dans le passé. Les corps sont traités comme des abstractions pour aller au-delà des apparences dans un monde sans excès presque pas présent. Chaque spectateur pourra regarder les photos, puis rebrousser chemin, le flou suivant l’imagination de celui qui regarde là où le réel serait une prison” Claude Hilson
► 7. Olivier Sonck Etudes ESAPV Mons. Professeur de gravure à l’Ecole des Arts d’Anderlecht et de sérigraphie à l’Académie des Beaux-Arts de Charleroi. “Les mots, le langage écrit ou oral et leurs particularités sont à présent devenus la matière première de mon travail graphique. Je m’intérese à leur sens, à la manière dont on les prononce mal et au résultat que cela donne après un passage dans des oreilles distraites. J’en fais des objets imprimés, marqués sur des matières inertes et froides— acier, plomb, cuivre, faisant ainsi référence au monde de l’imprimé, vecteur de circulation du langage et des idées ».
► 8. Omer Ozcetin Etudes E.S.A.P.V Mons en Peinture. Animateur au BPS22 et au Musée Ianchelevici. Plasticien/Artiste pluridisciplinaire dans un service thérapeutique du CPAS de Charleroi au Club Théo Van Gogh. “Sensible aux questions politiques de notre époque, Omer Ozcetin aborde le phénomène des migrants à travers la pratique de travaux sériés. Une constellation d’un même portrait répété, gommé, effacé, masqué et quarante visages gratifiés d’un code-barres, nous renvoient à la disparition progressive d’une humanité et à la consommation d’une actualité récurrente et banalisée”.
► 9. Sébastien Jacquet Etudes en Photographie à l’Institut Provincial des Arts et Métiers de La Louvière Professeur d’histoire et de géographie, « C’est en retournant en 2011 sur les bancs de l’école que photographier le monde qui l’entoure est devenu plus qu’une passion. La photographie est synonyme de rencontres, d’échanges et de dialogues avec l’autre. Qu’il soit sujet ou spectateur ».
► 10. Sonja Delforce Etudes Académie des Beaux Arts de Charleroi en peinture et céramique. “ Mes pièces ne représentent pas la réalité mais se veulent le reflet d’émotions, de sentiments et de besoins personnels. Toucher la terre et faire de la céramique sont pour moi des moments de joie et de vrai bonheur. Chaque objet est unique, je ne me sers jamais d’un moule, je laisse libre cours à mon imagination et réinvente à chaque fois ”.
► 11. Tristan Robin Etudes à l’ENSAV La Cambre. Professeur de Recherches graphiques et picturales à l’Académie de Saint-Gilles après avoir enseigné quinze ans à l’Académie des Beaux-Arts de Charleroi. « Chaque niveau de la peinture est posé avec une intention particulière, sensualité gestuelle, rigueur formelle. […] C’est par la mise en tension et la confrontation entre les éléments constituant l’image, qu’ils soient en dialogue ou en opposition, que la forme se construit et se stabilise dans un équilibre précaire d’où émerge un sens plus ou moins ouvert à l’interprétation » .
► 12. Yamiki est céramiste matiériste. “Les oeuvres proposées mettent en évidence le matériau brut , la terre nue dépourvue d’artifices qui viseraient à corriger la réalité à l’embellir . “ Souvent , les pièces sont en prise directe avec la nature sans en être une copie ou imitation. Elles sont plutôt la traduction d’une prise de conscience de sa complexité et de l’idéal artistique qu’elles nous inspirent”.
La Maison de la Laïcité de Charleroi organise sa 7ème édition du petit déjeuner équitable le 24 mai de 8h à 11h30.
Entre amis, en famille ou avec vos collègues, partagez un moment convivial pour débuter la journée d’un bon pied. Tous les produits sont issus d’une agriculture locale et/ou fairtrade. Jus de fruits, thé, café, couques, pains, confiture, pâte à tartiner, fruits, etc. composeront votre petit déjeuner pour la modique somme de 3 euros.
L’entièreté des bénéfices sera reversée au Resto du cœur de Charleroi.
Depuis 2 ans, Charliequeen questionne la place des femmes dans la ville tout au long du mois de mars. Cette année, nous avons eu envie de pousser la réflexion plus loin et d’entamer un projet à plus long terme qui visera à comprendre et combattre le sentiment d’insécurité ainsi que de réfléchir à l’usage et l’accessibilité de la ville par et pour les femmes. Un projet sur une année pour proposer des pistes d’actions afin d’améliorer notre vie à tou.te.s en ville.
Le lancement de cette réflexion, qui sera accompagnée par l’ULB – Charleroi/Centre Universitaire Zénobe Gramme, sera matérialisé par un travail artistique dans les rues du centre ville du 4 au 25 mars… on ne vous en dit pas plus 😉
Intrigué.e.s ? Rendez-vous le samedi 4 mars à partir de 16h sous le kiosque du parc Astrid pour le lancement de cette année de réflexion. L’occasion d’échanger, de réfléchir mais aussi de boire un verre pour vernir le travail artistique réfléchi et réalisé par le groupe Charliequeen.